dimanche 11 décembre 2016

Noël de l'ICT

L'année dernière, on était sur le port de Marina Del Rey, avec une vue (toute théorique vue qu'il faisait nuit...) sur l'océan et les yachts.


Cette année, le repas de Noël était dans un musée automobile.

















dimanche 4 décembre 2016

Road-trip du week-end

Et pour se remettre de nos émotions, tandis que les parents de Mathieu s'envolaient pour Dallas, Memphis et Nashville, nous sommes nous aussi partis nous promener.

Nous avons loué une voiture et nous sommes partis pour la Vallée de la Mort, que tout le monde nous vante depuis nos premiers visiteurs et que nous n'avions pas encore vue.


D'abord, parlons de la voiture...
Nous avons un peu craqué et nous avons décidé de louer une Mustang décapotable "ou équivalent". Perso, ma préférence allait sans aucun doute à la Mustang plutôt qu'à l'équivalent... et à du noir, du gris, éventuellement du rouge si vraiment on n'avait pas le choix.

On s'est retrouvés avec ça.



En même temps, quitte à louer ce genre de voiture, j'imagine que ça ne sert à rien de faire dans la demi-mesure. Autant à Los Angeles on passe relativement inaperçus... autant dans le désert au milieu des Jeep on a bien rigolé !!



Pour le reste... on a encore une fois été bluffés. C'est beau. C'est impressionnant. C'est complètement fou.







Première étape, après un burger de bison et un burger d'élan: les Alabama Hills. Qui ne sont pas du tout dans l'Alabama bien sûr. C'est là qu'une bonne partie des anciens westerns a été tournée. Aujourd'hui il y a encore des tournages de pubs (Sauvage, Dior) et de films (Django Unchained).























Comme vous pouvez le deviner sur les photos de nous... Il y avait du vent. Beaucoup de vent. En fait, quand on est arrivés à Lone Pine pour demander une carte et des informations au point d'accueil des visiteurs, on nous a annoncé qu'une tempête était en chemin. Apparemment, la visite des Alabama Hills le lendemain aurait été nettement plus difficile...

Nous avons ensuite pris la route du parc national de la Death Valley, vers l'ouest. 





Un arrêt à l'entrée du parc, en surplomb de la vallée elle-même.





La Vallée de la Mort est le point le plus bas, le plus sec et le plus chaud des Etats-Unis. Venir fin novembre était aussi un choix tactique: même en ne tenant pas compte des conditions météo particulières que nous avons eu le dimanche, la température à cette période ne dépasse jamais vraiment les 25°C, alors que l'été c'est presque tout le temps au dessus de 50°C. Par contre, nous avons bien senti la sécheresse de l'air, même venant d'un lieu comme Los Angeles, déjà sec par rapport à ce qu'on connaissait en France. La sécheresse et le vent combinés nous ont complètement desséchés et on a passé notre temps à boire.

Les paysages sont très variés. 
Le samedi, nous avons traversé la vallée, le soleil se couchant progressivement derrière les montagnes...

















Le lendemain, après une nuit dans la petite ville de Pahrump, nous voilà repartis.


Les roches, dans un premier temps, nous font penser à de gigantesques desserts...









Arrivée à Zabrinski Point (un film que nous avons apparemment à voir...). La vue est magnifique.





On poursuit avec un endroit appelé Badwater, 82 mètres sous le niveau de la mer. L'eau salée arrive jusqu'ici, puis s'évapore, laissant seulement une croute de sel sur le sol...








Comme vous pouvez le voir, la tempête arrivait déjà...
Nous avons poursuivi avec Artist's Drive, une route dans les montagnes où les couleurs sont impressionantes: jaune, ocre, rouge vif, différents bleus, différents roses et violets...















Ailleurs encore, les dunes de sable... à un endroit où le vent les amasse.





Bon, c'est là qu'on a commencé à vraiment se retrouver dans une tempête de sable...


Puis... il a plu. 
Nous avons donc assisté à un événement exceptionnel: il ne pleut qu'une à deux fois par an dans la Vallée de la Mort.


Un petit regret: impossible de rester une nuit de plus pour voir les effets de cette pluie si rare. Certains endroits fleurissent de manière incroyable lorsque la pluie arrive au printemps, mais la pluie de novembre doit bien faire quelque chose... Mais il fallait rentrer pour travailler lundi...





Au lieu de rentrer directement à la maison, nous avons rejoint la côte pacifique un peu au nord de Malibu... et nous avons descendu la côte en décapotable, au coucher du coleil !